Qui oserait le contester, la pandémie a principalement touché d’une part les personnes en précarité économique et d’autre part les travailleur·euse·s qui assurent les nécessaires fonctions de base que certains nomment métiers à » prédominance féminine « . À l’heure où le déconfinement ? est amorcé, des questions surgissent avec plus ou moins d’insistance sur l’avenir de l’économie telle qu’elle est organisée dans nos sociétés ultralibérales.
De deux choses l’une :
– soit tout continue comme avant moyennant peut-être de superficielles améliorations du système actuel basé sur une économie de marché résolument productiviste et consommatrice ;
– soit nous voulons un changement radical de l’organisation économique, sociale et politique pour démocratiquement évoluer vers plus de respect des droits de l’homme et d’égard pour la planète dont nous dépendons tous. Et dans cette option de remise en question voire de renversement, les femmes vont-elles pouvoir donner de la voix pour participer aux décisions ?
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