Des étudiantes, appelées  » sugar babies  » qui financent leurs études en offrant leurs charmes à des hommes riches et âgés, c’est une réalité en pleine expansion dans un contexte de crise. Un business qui interroge la notion de prostitution : elles se voient comme des filles libres et désirées ; ils se voient comme des mécènes. Troublant.
Souvenez-vous, c’était à la rentrée scolaire : une affiche géante, aux abords de l’Université libre de Bruxelles (ULB), créait l’émoi. À côté d’une jeune femme en lingerie, on pouvait y lire :  » Hey, les étudiantes ! Améliorez votre style de vie, sortez avec un sugar daddy « , suivi de l’adresse de RichMeetBeautiful (un riche rencontre une belle) un site de rencontres spécialisé….
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