Juillet, août, septembre, sans doute octobre et encore novembre : des colonnes impressionnantes de réfugiés frappent aux portes de l’Europe[i]. La preuve éclatante qu’aucun mur n’arrête des femmes, des hommes et des enfants qui tentent, au péril de leur vie, de fuir les guerres, l’enfer, la misère. La preuve éclatante et désolante que le rêve européen se réduit de plus en plus à une superstructure sans humanité.
[i] Cet article a été écrit le 23 septembre 2015 et est paru dans Plein Soleil d’octobre 2015.
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