Après les élections communales et provinciales du 14 octobre 2018 et à l’approche des élections régionales, fédérales et européennes, du 26 mai 2019, la question de le sous-représentation des femmes en politique se pose avec force. Dans une précédente analyse, nous avons vu que les règles électorales et les quotas ont des effets positifs, mais insuffisants. De nombreux filtres sont à l’œuvre qui dissuadent ou empêchent les femmes de siéger, au bout du compte dans une assemblée ou un exécutif. Pourtant, la démocratie a tout à gagner à une meilleure représentation politique d’une catégorie sociale qui représente 50 % de la population. Envisageons quelques outils et pistes pour avancer en la matière.
Si notre Mouvement et d’autres interrogent la (faible) participation des femmes à la vie politique et veulent l’encourager, c’est parce que nous sommes convaincu·e·s que ces dernières ont une réelle plus-value à apporter à l’organisation de la cité.
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