Malgré plusieurs règles pour améliorer la représentation des femmes sur les listes électorales, dans les faits, les femmes continuent à être sous-représentées dans les exécutifs et au sein des administrations. Pourquoi ? Quels filtres les empêchent d’entrer dans l’arène politique ?
En février 2018, on fêtait les 70 ans du vote des femmes aux législatives. C’était également, lors des élections communales d’octobre, la première fois que le principe de la  » tirette  » était de mise. Cette alternance entre hommes et femmes sur les listes (à l’exception de la dernière place) est la dernière règle électorale en date ayant pour objectif de favoriser la participation politique des femmes. Avec des effets tangibles, mais encore insuffisants.
En tant que Mouvement de femmes, il nous semble essentiel de savoir comment ces règles électorales influencent (ou non) la réalité de terrain pour les candidates. Le droit des femmes à être représenté est d’ailleurs le thème pour 2018 de l’Assemblée participative permanente Alter Égales, mise en place en 2015 par la ministre des droits des femmes, Isabelle Simonis. L’ACRF-Femmes en milieu rural suit de près les travaux de cette Assemblée et a d’ailleurs participé activement aux travaux d’Alter Égales, en 2016.
Quels sont les freins à la participation politiques de femmes ? Quels sont les difficultés concrètes pour celles qui s’engagent ?
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