Dans une société proprement terrible, les marchands savent qu’ils peuvent compter sur le mal-être des salariés exploités, parfois à mort. La publicité déploie des trésors de malignité pour s’insinuer dans toute la vie, elle profite de tous les interstices et la souffrance au travail en est un, dont la taille ne cesse de s’accroître. Il faut vendre !
Mais si au lieu de s’abîmer dans la consommation, on sublimait dans l’imagination libératrice ?
Mais si au lieu de s’abîmer dans la consommation, on sublimait dans l’imagination libératrice ?
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