A quelques jours de la sortie du rapport de Greenpeace sur le climat, l’occasion est idéale d’expliquer les chiffres mondiaux qui circulent quant à l’empreinte écologique de l’élevage, sans pour autant la nier.

Comme l’explique A. Clinquart, Docteur en médecine vétérinaire et expert en technologies des denrées alimentaires à l’Université de Liège,  » Chacun peut accorder à la viande la place qui lui revient, et l’exprimer dans son comportement alimentaire selon qu’il est amateur de viande, végétarien/végétalien, flexitarien… Chacun de ces comportement est possible à l’échelle de l’individu mais aucun d’entre eux ne peut être envisagé comme la seule solution possible à l’échelle de la population ».

A cette occasion, nous vous proposons de prendre connaissance du Communiqué de Presse adressé par la Cellule d’information Viande CP_Elevage-et-durabilité_final_28012019