La présente analyse se penche sur » le droit de résistance à l’oppression « . Nous avons voulu appuyer notre propos sur des considérations et des analyses produites par d’éminentes juristes, professeures d’université. Il ressort de leurs contributions respectives qui, en quelque sorte, s’enchaînent et se complètent, que l’exercice pratique du droit de résistance ne peut prendre qu’une seule forme : insurrectionnelle. Ce qui ne manque pas de renvoyer à tout un imaginaire de violence, voire d’épisode révolutionnaire. Nous évoquons donc cette question sous l’angle de la » violence première « .
Le droit à ceci de particulier qu’il est souvent rébarbatif – de prime abord du moins. Nous avons donc illustré dans la seconde partie les propos tenus et les raisonnements suivis dans la première, en nous basant sur le mouvement des Gilets jaunes, dont, au moins sous l’angle retenu ici, nous pensons pouvoir soutenir la légitimité.
Le droit à ceci de particulier qu’il est souvent rébarbatif – de prime abord du moins. Nous avons donc illustré dans la seconde partie les propos tenus et les raisonnements suivis dans la première, en nous basant sur le mouvement des Gilets jaunes, dont, au moins sous l’angle retenu ici, nous pensons pouvoir soutenir la légitimité.
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