L’être humain a toujours vécu en groupe, puis en société. Depuis son apparition sur terre, il tente de tirer profit de la force et de la protection que peut lui offrir le  » Vivre Ensemble « . Tout comme un nombre incalculable d’autres espèces vivantes, il ne tarderait pas à dépérir, puis à mourir s’il était isolé.  Il coopère avec ses semblables pour se nourrir, se déplacer, se protéger, réfléchir. Bref, pour mettre en place des stratégies de survie, puis de développement.  Si les sociétés humaines ont connu le progrès c’est parce que l’homme est avant tout un super coopérateur. On oublie ce lieu commun qu’il est bon de rappeler à certains moments cruciaux comme ceux que nous vivons aujourd’hui. En ces temps obscurs où semble triompher l’idée que  » l’homme est un loup pour l’homme « , il nous apparaît urgent de  redéfinir les notions  d’altruisme, d’empathie, d’entraide et de coopération, ces propensions qui font notre humanité et que nous devons coûte que coûte cultiver au risque de sombrer…
Pour téléchargez l’analyse, cliquez sur acrfana_2016_23_cooperation_ml