Pourquoi aborder cette question ?

Nous le savons, les femmes, et notamment les femmes à la tête d’une famille monoparentale et les femmes âgées, sont particulièrement touchées par la précarité. Or, ce sont les personnes les plus précarisé·e·s qui subissent le plus les impacts des dérèglements climatiques : zones urbaines polluées, logements insalubres/mal isolés, problèmes de mobilité, …

Dans les pays du Sud, ce sont d’ailleurs les femmes qui sont les premières à ressentir les effets des dérèglements climatiques lorsqu’elles doivent parcourir des distances de plus en plus longues pour trouver ce dont elles ont besoin pour nourrir leur famille. Ces situations créent par ailleurs des tensions et exacerbent la vulnérabilité de ces femmes face aux violences basées sur le genre. Rappelons également que ces dérèglements ont de forts impacts sur la santé de chacun·e, et ce de manière spécifique sur les femmes.

C’est pourquoi, à l’occasion de cette journée mondiale d’action pour la santé des femmes, nous appelons à l’élaboration d’un monde plus juste, qui croise les enjeux de justice sociale avec les inégalités de genre et la préservation de notre environnement.

Pour lire le Communiqué de presse, cliquez sur https://acrf.be/wp-content/uploads/2023/05/CP-28-MAI-2023-Sante-des-femmes.pdf