L’urgence absolue est de sauver des vies et de préserver la santé de la population.  La décision rapide de confinement prise par les autorités a été la bonne et nous devons tout mettre en œuvre pour la faire respecter.

Mais à l’heure où des millions de personnes risquent de voir leurs revenus fortement amoindris, ou de se retrouver dans des situations de précarité exacerbées, l’urgence est également sociale.  Plus que jamais.

Syndicats, mutuelles, mouvements associatifs, professeurs et citoyens engagés travaillent d’arrache-pied pour que personne ne soit oublié et pour dénoncer cette précarisation sociale.

Personnes précarisées, sans-papiers ou sans abris luttant pour sauver leur peau pour ne pas être infecté.e;s ou simplement pour manger.  Travailleur.euse.s qui continuent à à prester pour le bien de la population et qui doivent être protégé.e.s.  Celles et ceux mis en chômage temporaire, temps partiels (dont énormément de femmes) qui risquent d’être encore plus lourdement sanctionné.e.s. Artistes et statuts précaires.  Malades qui doivent être correctement indemnisé.e.S, pensionné.e.s qui doivent toucher leur pension… Personne, répétons-le ne doit être oublié.

Pour lire la suite de la carte blanche, signée par un nombre impressionnant de membres de la société civile, représentants de mouvements et d’associations, cliquez sur  Gérer l urgence… puis réinventer l’avenir.Finaldocx (2)