La Présidente et les membres du Sénat ont été interpellés par le mouvement avant le vote de la nouvelle loi. Plusieurs questions leur ont été posées, notamment par rapport à la suppression de la pension alimentaire personnelle des femmes qui permettait à celles qui n’ont pas d’emploi correct de survivre avec leurs enfants. Pour l’ACRF, mouvement de femmes, le point crucial est l’abandon de la notion de faute. En effet, que se passera-t-il en cas de divorce pour cause de violences conjugales ? Nous demandons que des amendements soient apportés à cette loi afin d’éviter de perpétrer des injustices prévisibles.