Le métier se féminise, des filles remplissent aux trois quarts les auditoires de la Faculté de médecine vétérinaire de Liège. Dans le même temps, une autre tendance se profile, qui inquiète : la pénurie de vétérinaires ruraux (qui fait l’objet d’une autre analyse). Dans ce contexte, quid du cliché qui veut que les éleveurs « rejetteraient » les femmes vétérinaires parce qu’elles ne seraient pas aussi compétentes ou fortes physiquement que leurs confrères masculins ? Et quelles sont les pistes d’avenir pour les vétérinaires rurales ?

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