« La principale difficulté pour analyser le fait que le produit du travail devienne une marchandise provient du caractère fantastique, mystique, enchanté, donc trompeur, sous lequel apparaît l’échange de marchandises.1 »
L’ACRF – Femmes en milieu rural consacre depuis des années des analyses à la « consommation ». Cette réflexion de long terme, qui considère le phénomène sous de nombreuses facettes, s’inscrit dans une démarche d’éducation permanente : elle tente tout à la fois de développer une approche critique chez les consommateurs que toutes et tous nous sommes et de favoriser des comportements qui vont de la prise de responsabilité individuelle aux initiatives et luttes collectives.
Au centre de cette affaire trône la marchandise. Il nous a donc semblé utile de revenir sur cette « vieille ennemie », comme l’appelle Guy Debord

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