Agressions, vols, rackets, crimes… par des auteurs de plus en plus jeunes, autant de faits que nous rapporte l’actualité. Les jeunes sont-ils plus violents aujourd’hui qu’hier ? Non, les statistiques des parquets le confirment. En écho à un colloque sur le sujet, l’ACRF rejoint les approches critiques qui décodent le sentiment d’insécurité de plus en plus présent, mettent à mal l’idée de plus en plus répandue d’un droit à une sécurité absolue et veut ainsi désamorcer une vision alarmiste. La violence des jeunes n’est pas une fatalité. Il faut chercher la cause de la cause, développer une vision globale de la situation et les soutenir.
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