Notre mobilité a des conséquences désastreuses sur la santé publique, sur l’exploitation des ressources finies et l’état de la planète. Aujourd’hui conceptualisée comme individuelle, notre mobilité rétrécit notre champ social et engendre parfois l’exclusion. Elle nous paralyse dans un système autodestructeur. A l’heure où l’être humain est en manque de lien et voit la solidarité grignotée de toutes parts, l’ACRF prône un virage à 180° qui tourne le dos à cinquante ans d’autosolisme.
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