La présente analyse s’intéresse – mais sans entrer pour autant dans les arcanes mathématiques, qu’on se rassure ! – aux » algorithmes » et à ce qu’on appelle l’Intelligence Artificielle. Il a semblé à l’ACRF qu’il était utile d’un peu mieux comprendre comment » tout cela » fonctionne : on gagne toujours à en savoir plus sur les machines que nous utilisons quotidiennement et ce, dans l’espoir d’au moins un peu parvenir à les maîtriser, voire à s’en défendre.
Qu’on le veuille ou non, nous vivons à l’ère du numérique : dans un monde régi par l’informatique. Nombre de ces » rêves » qu’exploraient les films et les livres de science-fiction d’après-guerre ont été atteints, puis dépassés.
Mais nos télévisions ultra-HD, nos smartphones et nos ordinateurs, sans même parler de l’électro-ménager ou du système de chauffage connectés (ce qu’on appelle la » domotique « ) constituent la partie émergée de l’iceberg. Car, en réalité, tout cela fonctionne grâce à une gigantesque infrastructure matérielle et intellectuelle qui, pour une large part, nous échappe bien que son développement ne soit pas sans incidence sur nos vies. On ne s’y attardera pas ici mais l’on sait par exemple fort bien que l’impact de l’informatique sur le réchauffement climatique est de plus en plus conséquent : » Selon l’Ademe, le secteur numérique dans sa globalité (fabrication et utilisation de serveurs, réseaux, terminaux, etc.) représente à lui seul pas moins de 10 % de la consommation énergétique mondiale « . Ainsi, les machines qui œuvrent dans les » datacenters » – les centres de conservation des données disséminés un peu partout dans le Monde – nécessitent d’importants systèmes de refroidissement, générateurs de rejets massifs de Gaz à Effet de Serre (GES).
Mais la présente analyse s’intéresse quant à elle, sans entrer pour autant dans les arcanes mathématiques, aux » algorithmes » et à ce qu’on appelle l’Intelligence Artificielle. Il paraît en effet utile d’un peu mieux comprendre comment » tout cela » fonctionne : on gagne toujours à en savoir plus sur les machines que nous utilisons quotidiennement dans l’espoir d’au moins un peu parvenir à les maîtriser ou à s’en défendre – pour des raisons que nous examinons en deuxième partie de ce texte.
Qu’on le veuille ou non, nous vivons à l’ère du numérique : dans un monde régi par l’informatique. Nombre de ces » rêves » qu’exploraient les films et les livres de science-fiction d’après-guerre ont été atteints, puis dépassés.
Mais nos télévisions ultra-HD, nos smartphones et nos ordinateurs, sans même parler de l’électro-ménager ou du système de chauffage connectés (ce qu’on appelle la » domotique « ) constituent la partie émergée de l’iceberg. Car, en réalité, tout cela fonctionne grâce à une gigantesque infrastructure matérielle et intellectuelle qui, pour une large part, nous échappe bien que son développement ne soit pas sans incidence sur nos vies. On ne s’y attardera pas ici mais l’on sait par exemple fort bien que l’impact de l’informatique sur le réchauffement climatique est de plus en plus conséquent : » Selon l’Ademe, le secteur numérique dans sa globalité (fabrication et utilisation de serveurs, réseaux, terminaux, etc.) représente à lui seul pas moins de 10 % de la consommation énergétique mondiale « . Ainsi, les machines qui œuvrent dans les » datacenters » – les centres de conservation des données disséminés un peu partout dans le Monde – nécessitent d’importants systèmes de refroidissement, générateurs de rejets massifs de Gaz à Effet de Serre (GES).
Mais la présente analyse s’intéresse quant à elle, sans entrer pour autant dans les arcanes mathématiques, aux » algorithmes » et à ce qu’on appelle l’Intelligence Artificielle. Il paraît en effet utile d’un peu mieux comprendre comment » tout cela » fonctionne : on gagne toujours à en savoir plus sur les machines que nous utilisons quotidiennement dans l’espoir d’au moins un peu parvenir à les maîtriser ou à s’en défendre – pour des raisons que nous examinons en deuxième partie de ce texte.
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